Il semble que Bachar El Assad a tout perdu a force d’intransigeance, celle qui lui avait permis de tenir jusque là.
Il a refusé de négocier avec les Turcs tant qu’ils étaient présents en Syrie, il a refusé une plus grande aide des Russes en échange de l’ouverture de son pays aux entreprises russes et il a refusé une plus grande aide des iraniens à cause du nouveau soutien des Emirats arabes Uni.
Le Hezbollah un peu lâché par l’Iran avait d’autres « chats à fouetter ».
Après une guerre civile atroce comme dit dans l’article et un paye misérable, fruit des sanctions, les soldats de l’armée syrienne n’avaient pas de motivation pour mourir pour des intérêts qui ne sont pas vraiment les leurs et le château de cartes s’est effondré face à une coalition très motivée.
La Turquie et Israël sont les deux plus grandes puissances militaires frontalières de la Syrie, la logique est quelque part respectée.
Encore une fois le deux poids deux mesures, les médias hurlent quand l’Ukraine en envahie mais quand c’est la Syrie tout va bien.