Bonjour Olivier.
S’étendre sur ces « olibrius » qui se tiennent par le petit doigt crochu , et qui jouent à
« la chaise musicale » sur une partition, dont on connait le Moz-art Hellas signataire, ne ferait que participer, à leur seule et inique fonction, faire perdurer l’équilibre gyroscopique du m(o)ignon central, qui tourne...... à contre sens.
On le sait, on le voit, et cela commence à foutre le tournis, tant la ficelle est grosse, pour une si petite toupie, lancée trop près du sol.
MAIS....
Votre « ouverture » sur le pipeau, me semble bien plus judicieuse, et cela, à plus d’un titre, car c’est l’expression même, de la faconde de cet « état pipeauté ».
On voit bien les doigts sales, et les trous bé(L)ants, de ces enquilleurs de prébendes, ces inutiles mollassons paillassons, ces limaces qui changent de co(s)utume de sexe, pour complaire au doigt mouillé du 49.3, Ces ombres mouvantes, qui n’ont, comme seul but d’existence, celui de coller, au pas de Valse d’un hoquet, de poison lent, et j’en passe, sur les garde des Sots, délégué exécutif et exclusif, à la vidange du Pot de nuit, seul trône sur mesure du CONstipé, torché, avec les PANpam-pers de la Raie publique.
Il est désormais visible, que dans cette ronde saga-a -fric-ahhhhh, chacun joue avec le pipeau de l’autre, y apposant ses doigts crochus, ses ongles incarnés, ses ampoules de friction, mais, en aucun cas, ne le secoue trop fort, pour faire écrire autre chose que son nom, dans cette poudreuse sur guéridon.
Bien à vous Olivier.