Tout cela pose des questions sur la notion de contrôl mental. Cela fait penser aux expériences de Milgram ; d’ailleurs Stanley Milgram a défendu Hannah Arendt sur sa notion de « banalité du mal ».
Aujourd’hui, beaucoup de gens défendent l’anti-poutinisme primaire qui fait serieusément
pencher la balance vers la 3e guerre mondiale. Je me demande si, quelque part, ils ne seraient pas soumis à un contrôl mental tout-à-fait comparable à ce que ces serviteurs du nazisme ont expérimenté.
Exécuter quelqu’un parce qu’il manque de recul sur lui—même, c’est peut-être improductif.