C’est justement ce point de vue qui est dogmatique. Un élève de Khâgne pourrait aussi bien enseigner l’histoire que le Français. C’est l’Université qui limite les points de vue. L’interdisciplinarité n’est hélas pas une réalité et du coup, tout semble impossible, tout semble une simple réduction du nombre d’enseignants, ce qui est de mon point de vue absolument faux. J’essaie d’être pragmatique et je m’interroge sur ce qui empêcherait un professeurs de maîtriser plusieurs disciplines pour en assurer l’enseignement ! Rien ne l’empêche à mon avis, sauf le spectre que vous venez de développer et qui ne tient absolument pas devant plusieus modèles étrangers (Danemark, Finlande, Suède, Espagne...) !!!