Je ne sais s’il y a vraiment lieu de frémir... Premièrement, c’est la loi. Deuxièmement, c’est une manière de justifier l’usage d’un pseudonyme, que je ne prise guère. Troisièmement, je compte m’exprimer sur d’autres sujets, qui, en effet, seront peut-être moins anodins s’agissant de mon statut.