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En réponse à :


pomponette 6 juillet 2007 12:32

Encore une preuve que tu n’es qu’un réac comic, et je sais où tu veux en venir en lançant ce genre de sujet sur le racisme anti blanc.

- Mais, as-tu demandé à l’auteur de ce terme si elle n’a pas parlé français, en utilisant ce mot dont la racine est : Souche, si elle n’a pas voulu parler des français de souche. et non pas de sous « Chiens » ;)

Voici ce qu’on peut lire dans le Figaro.fr sous la signature de d’Ivan Rioufol. Un de tes alter egos avec des Finkielkraut ! smiley

- Tu ne te reconnais toujours pas Chère ? Cela ne m’étonne pas ....cela s’appelle du déni, ou de la mauvaise foi !

Ivan Rioufo, un pro guerre Irak

Sa vie, ses citations, ses idées suivre le lien d’acrimed.... !

http://www.acrimed.org/article765.html Extrait de ses citations épinglés par acrimed : Le Zimbabwe

4 octobre 2002 (« Silence pour le Zimbabwe »)

- « Au Zimbabwe, les derniers fermiers blancs -gros propriétaires terriens- sont chassés par les Noirs des lieux où ils sont nés. (...) Certains fermiers ont été tués, leurs biens ont été confisqués. Ceux qui ont fait la richesse du pays vivent aujourd’hui dans la terreur. (...) Qui dénonce le racisme anti-Blancs ? » (...).

Dans cet article du Figaro, Il sous -entend une violence de l’Islam qui est en guerre depuis 1375 ans ... « Le Liban se disloque à cause d’un État vulnérable à la pression islamiste. » mais il ne s’est pas disloquée l’été 2006 suite à l’agression des israeliens qui ont tués, saccagés un peu plus ce pays ! Le monde chrétien a pu être violent mais bon il s’est rechristianisé ..... Il revient aussi sous le terme exploité par cosmic, souschiens en disant qu’on peut entendre sous-chiens Mais on peut aussi entendre la racine souche dans cette expression pour les moins sourds !

http://www.lefigaro.fr/debats/20070706.FIG000000026_attentats_les_deux_isla ms.html

Les trois attentats déjoués en Grande-Bretagne, qui mettent en cause des médecins étrangers, rappellent le défi posé aux sociétés occidentales : se défendre contre les attaques islamistes lancées au nom du Coran, tout en évitant d’incriminer la religion et ses pratiquants. L’issue tragique, espérée des djihadistes, serait d’inciter la majorité des musulmans d’Europe à s’exclure de la démocratie et de la modernité. Encore faut-il, préalablement, accepter de regarder des réalités en face.

Qu’on l’admette ou non, l’islam est en guerre. Cela fait 1375 ans que cela dure. Son expansion a commencé dès 632, à la mort de Mahomet, et n’a jamais connu de répit, comme le rappelle Jean-Paul Roux, historien de l’islam, dans un livre passionnant (Un choc de religions, Fayard). Le monde chrétien aussi a pu être violent. Mais il n’a réussi à rechristianiser que l’Espagne, la Sicile et la Crimée. Il perd du terrain. C’est sur ce fond historique qu’il faut replacer les attentats, dont celui du Yémen, lundi, qui a tué six Espagnols. La France, malgré sa politique arabe, est aussi une cible. Or cette obsession de la conquête est occultée. Les commentaires préfèrent parler du sentiment d’humiliation qui pousserait les radicaux. Quand le djihad est mentionné, c’est pour lui trouver des excuses. Ces endormissements sont déjà des redditions.

Et voilà ce que l’on ne veut pas entendre : l’amour n’est cité qu’une fois dans le Coran, alors qu’il compte quelque deux cent cinquante versets qui exaltent la guerre sainte. Les fondamentalistes qui ont oeuvré en Grande-Bretagne sont les héritiers de cette lecture littérale. Elle n’est pas « la religion de paix et de tolérance » pratiquée par la majorité des musulmans installés en Europe.

Oui, il y a place pour deux islams. Mais il faut soulever un faux-semblant : si le théologien Tariq Ramadan a su se faire passer, auprès des naïfs, pour un modéré plaidant pour un islam européen, Jean-Paul Roux rappelle, parlant des deux civilisations : « Elles sont trop différentes pour se fondre l’une dans l’autre. » En réalité, ce sont les musulmans laïcs, qui gardent leur religion pour eux et qui se plient aux règles communes, qu’il faut encourager. Pour cela, la nation ne doit rien céder de ses valeurs. La France a-t-elle encore cette autorité ?

Les deux options

« La France ne se résoudra pas à voir le Liban glisser vers la guerre civile », a prévenu François Fillon, mardi, lors de son discours de politique générale. Mais c’est un processus de libanisation, c’est-à-dire d’éclatement des communautés, que pourrait connaître le pays avant la fin du siècle, si la nation se révélait incapable de faire respecter sa langue, son mode de vie, son peuple.

Le Liban se disloque à cause d’un État vulnérable à la pression islamiste. L’enjeu pour la France mériterait une prise de conscience qui tarde à s’exprimer.

Certes, parlant de « fermeté » et d’« autorité » pour évoquer les valeurs républicaines, le premier ministre a utilisé les mots nécessaires au respect d’un socle commun, qu’il faudrait d’ailleurs définir. Mais la République cède quand elle permet le port du voile lors des naturalisations en préfecture. Elle cède lorsque personne ne réagit à Houria Bouteldja, porte-parole des Indigènes de la République, qualifiant sur France 3 les Français de souche de « souchiens » (on peut entendre « sous-chiens »).

Le problème identitaire, soulevé par Nicolas Sarkozy, reste entier. Quand François Fillon rappelle que l’identité nationale est « fondée sur le droit du sol », il ne veut pas voir que cette nationalité automatique est parfois vécue comme une violence (bloc-notes du 8 juin). Quand Brice Hortefeux, ministre de l’Immigration, explique qu’il faudra maîtriser le français en préalable à tout regroupement familial, il ne peut ignorer que les immigrés d’Afrique et du Maghreb ont déjà, généralement, cette pratique de la langue.

La nation est à la croisée des chemins. Un choix reste à faire, entre deux modèles de société. Le discours dominant, qui fait l’apologie de la diversité et du respect des différences, pousse à un multiculturalisme qui est une menace pour la cohésion nationale. L’autre voie, esquissée par Fillon quand il rappelle « l’universalité française », consiste à imposer les valeurs non négociables sur lesquelles s’est construit l’Etat-nation. Actuellement, ces deux options s’entremêlent. Une clarification s’impose.

« Un Sarkozy pour l’Église »

Avouons-le :

le contexte n’est pas favorable à une réaffirmation de l’identité nationale, née pour l’essentiel d’un héritage judéo-chrétien qui tend à s’effacer,

tandis que la fierté musulmane incite aux premières conversions. L’historien Jean-Paul Roux, catholique, le reconnaît : « Rien dans le contexte actuel ne peut faire croire que les fidèles du Coran acceptent le message de l’Évangile. » Mais le clergé porte une responsabilité dans cet affaiblissement de la chrétienté en France. « Il faudrait à l’Église un Sarkozy », me dit l’abbé Christian Laffargue, curé dans l’Ain (auteur de Pour l’amour de l’Église, Fayard, 1999). Plutôt que d’afficher leurs réticences au choix de Benoît XVI d’autoriser à nouveau la messe en latin selon le rite de saint Pie V, les évêques feraient mieux de se demander pourquoi les fidèles désertent leurs églises.

La solidarité, jusqu’où ?

Question rituelle, reposée hier : comment financer le déficit (12 milliards d’euros) de la Sécurité sociale ? Les assurés paieront encore. Mais il faudra bien, un jour, aborder l’inabordable : où s’arrête l’étendue de la solidarité nationale, dans une société toujours plus ouverte ? En 2005, Tony Blair en avait exclu les demandeurs d’asile déboutés. Choquant ?


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