J’ai constaté que le meilleur expert en « parisite » est Madelin. Il met des « che » à la fin de chaque mot. C’est pourtant pas un chti. Quoique...
Remarquez, ça dépend du contexte, et surtout du vocabulaire de chacun. Ainsi certains se trouvent avantagés dans la course à la langue parfaite, comme Patrick Devedjian, remarquable linguiste spontané dont la saisissante trouvaille lexicale qu’il employât pour saluer sa consoeur politique, en l’occurence « salope » mains néanmoins Comparini, ne supporte que très difficilement un « che » final.