La solidarité et la redistrubution, que l’auteur met en exemple, c’est un joli concept dans un monde parfait où tout le monde serait honnete, responsable et respectueux. Malheureusement la réalité est encore loin de cette image. Ce que la phrase, tant répétée dans l’article, sousentend, c’est qu’il faut (malheureusement, encore une fois) responsabiliser les gens ne serait ce qu’un minimum ! Je parle là de cette phrase en général, pas du projet du gouvernement.
Un système qui se base sur une redistribution inconditionnelle conduit irremédiablement à une irresponsabilité, parasitage et stagnation... Cela s’est déjà vu ailleurs.