On se contente une fois de plus d’ajouter alinea, verrues, amendements, boucliers et autres cautères sur des jambes de bois pour le moins vermoulues.
La vraie rupture serait de mettre tout à plat.
Peut-on réellement réformer sans reformer ?
PS (indeed !) : on peut toujours se rassurer en se demandant ce que cela aurait donné avec Ségo : http://blogules.blogspot.com/2007/06/premier-bilan-sur-la-prsidence-de.html