Moi aussi ça fait des années que je prône une légalisation encadrée du cannabis, sur le modèle de ce qui se fait pour le tabac. Mais le mot « drogue » fait peur, et on se réfugie dans le déni : si on n’en parle plus, si on l’interdit, il va finir par ne plus exister. Vous avez raison, ça ne marche pas.
Pour la petite histoire, je vous rappelle que notre bien-aimé Président, quand il n’était que Ministre de l’Intérieur avait déjà proféré cette énormité : « la notion même de drogue douce est une absurdité, si c’est une drogue, elle n’est pas douce (..) ». Et voilà comment on persiste et signe - sans réfléchir.