Dans le cadre d’agressions diverses subies, j’avais décidé de déposer plaintes au commissariat de ma ville. Curieusement ce fut pour m’entendre dire que, une première fois, ça tombait mal, à cause des fêtes de fin d’année. La seconde fois, il fallait revenir, il n’y avait pas d’OPJ...
Au bout de quatre fois, j’ai écrit.
Par ailleurs, lors d’une convocation par un doyen des juges, la greffière qui était présente, m’hurla dessus, je cite : « vous ne pouvez pas la fermer, je n’entends pas ce que dit le juge ! »
En fait, ce n’est pas la victime qui est écoutée, mais le juge.
Il n’y a pas de doute, les victimes sont très bien reçues et très bien considérées.
Je peux continuer si cela intéresse...