C’est un article sans intérêt, idéal pour troller peinardos. Donc je trolle.
L’après-midi du 11 septembre 2001, j’étais en train de mettre en page sur XPress un article que j’avais écrit le matin, tout en écoutant France-Inter. Tout-à-coup le programme habituel a été interrompu par un flash spécial. Le journaliste semblait en état d’hallucination intégrale. Mes doigts se sont levés de mon clavier, tétanisés. Quelques minutes plus tard, re-Boeing. Là, je me suis dit, « Ça y est, les islamistes attaquent pour de bon ». Je n’ai plus pu écrire un mot ni mettre en page quoi que ce soit, sidéré.
Le matin j’avais quand même pris mon petit déjeuner et pris une douche avant de bosser, relax, inconscient que j’étais de cette tragédie à venir. Le soir j’ai pas vu les zimages à la téloche, vu que je l’ai pas. Le lendemain j’ai fini ma mise en page sur XPress et j’avais un autre article à écrire, mais j’ai pas pu. Le surlendemain, oui.