Le statu de célibataire n’est pas toujours ce qu’il parait être.
Prenons les villes par exemple.
Il y a représentation d’emplois du tertiaires ou les femmes sont en majorité.
Réciproquement a la campagne, les hommes de 50 ans, agriculteurs vivent seuls alors que les femmes du même age restent en ville.
Mais la population est équilibrée en ville rétorquent les naifs .
Sauf que les villes sont aussi un lieu ou les homosexuels sont sur-representés.
Il est plus difficile de « vivre son homosexualité » dans la Creuse qu’a Paris, dans le Marais.
Le célibat peut donc cacher une homosexualité non avouée ou tout simplement des femmes qui du fait de cette sur-représentation de mâles non destinés a la reproduction, ne trouvent forcement pas chaussure a leur pied.
Si on y rajoute la concurrence des femelles plus jeunes...
La jungle urbaine cache également des célibats qui n’en sont pas.
Les mâles dominants, outre leurs régulières, peuvent frequement avoir une ou plusieurs concubines.
Quelle femme n’a pas connue ces honnêtes hommes qui leurs disent : « tu comprends , je ne peux pas la quitter maintenant, il y a les enfants... »
Elles vivent donc dans la semi-clandestinité amoureuse en attendant d’avoir le courage d’exiger le respect des promesses. Ce jour la , elles seront remplacées par une plus jeune, une moins chiante.
Rajoutez l’évolution des mœurs, des femmes qui veulent l’egalité avec les hommes tout en revant au prince charmant beau tenebreu...
Elles vivent dans leurs contradictions en espérant un homme qui soient a la fois caniche domestique qui fait la vaisselle et chien de garde qui les défendent !
Elles se réveillent en approchant de la ménopause puis se justifient en expliquant qu’elles préfèrent finir seule que mal accompagnée...
Les femmes ont juste oublié quelquechose :
ce n’est pas parce qu’elles ont gagné le droit a disposer de leur corps, que nous autres couiloux, nous avons perdu le notre...
Elles se sont battues pour la contraception, l’avortement, le droit de baiser sans devoir assumer les conséquences :
Merci les filles, cela nous arrange !
Ayant vu leurs parents divorcer, la génération qui arrive a surement retenu la leçon.