Les affections de longue durée représente 60 % de la dépense totale et sans doute représentera 70% en 2015...
D’autre part,nombre de prescriptions sont irrationnelles (voir l’étude de l’UFC pour des exemples) et l’« empreinte des laboratoires pharmaceutiques sur l’information des médecins de ville, via les visiteurs médicaux(VRP de l’industrie qui viennent promouvoir les produits de leur firmes dans les cabinets) au détriment des recommandations fournies par les autorités sanitaires »(S.Blanchard -Le Monde du 26/9) Là se trouve une partie non négligeable du problème, à mon avis...
Combien de médecins s’informent sur « Prescrire », qui n’est pas gratuite, mais qui est exempte de publicités ?... Combien de médecins sont satisfaits de leur formation à la prescription ?