Une heure pour tout lire, l’article et ses commentaires...Sidérant ! Et je passe sur les fautes d’orthographe, de syntaxe, de ponctuation, qui vont jusqu’à rendre illisibles certains.
Bon, plus sérieusement on a là une synthèse de ce que pense un homme apparenté au PS, de ce qu’il ressent ou sait, et c’est tout à son honneur de le dire, même si la forme est confuse. Mais là n’est pas le fond. Quand j’étais plus jeune (j’ai 55 ans), je disais à mes collaborateurs qui rencontraient un problème dans leur activité de toujours me proposer une ou des solutions pour remédier à ce problème. Ensuite on en discutait et on trouvait la solution à appliquer.
Le problème de la France est dans son essence même : une nation individualiste, atomisée, ou le chacun pour soi a supplanté l’objectif commun. « Diviser pour régner » disait Napoléon. Nous avons donc au fil des ans mis en place quantité de Lois, de règles partiales, corporatistes, iniques, injustes, inégales. L’exemple des retraites est révélateur : 1.6 cotisant par retraité dans le privé contre 0.5 cotisant par retraité pour les régimes spéciaux, 41 ans de cotisation à 10.40% du salaire pour le privé, contre 37.5 ans et 7.35 % pour la SNCF, RATP, EDF...Une retraite calculée sur les 25 meilleures années contre le dernier mois de salaire...J’abrège. La société française est ainsi percluse, sclérosée, par tous ces avantages accordés aux corporatismes et au détriment de l’ensemble. On le sait, de multiples commisssions, la Cour des comptes ont fait le constat de la situation. Mais pourtant rien ne change depuis 30 ans. Qui aura le courage de tout remettre à plat ? C’est sûrement là qu’une politique de rupture (comme il dit) devra se faire. Briser les corporatismes à tous les niveaux aussi bien politiques qu’économiques, rétablir la morale et le civisme à l’Ecole et dans la vie sociale, rendre de la Liberté aux médias et à l’expression en général, et s’il le faut aller jusqu’à une nouvelle nuit du 4 Août en abolissant les privilèges.
Alors chacun se sentant impliqué dans la société, ayant enfin un but, un espoir, se remettra au travail. Et tous en tireront un bénéfice qui sera un exemple.
Rupture ? Vous avez dit Rupture ?
Bien à vous.