Le problème le plus grave est que maintenant le journaliste participe à l’info.
Il n’y a plus de frontières entre journalisme d’investigation et journalisme d’opinion (si cela a jamais existé d’ailleurs).
Le « journaliste » livre l’évènement (sous la forme qu’il a choisie), émet un jugement (les usagers sont pris en otages par les cheminots) et s’arroge le droit de poser des questions alors qu’en bonne logique, il doit lui aussi se soumettre à l’interrogation puisqu’il prend parti .