Le capitalisme a perdu son âme en ne prenant pas en compte l’accélération du temps et le raccourcissement de l’espace liés au développement des moyens technologiques. Il est devenu un casino planétaire. Les faiseurs de pognon ne se mangent pas entre eux ; ils savent les limites à ne pas dépasser pour assurer la pérennité de leur racket. Il faut bien un emballage rationnel et moral pour endormir tous les intermédiaires de ce qui n’est plus qu’une foire aux psychopathes, en haut comme en bas de l’échelle sociale.