@ Fanfan
Bon article. Dans cette société de l’éternel jeunisme botoxé on oublie un peu trop les vieux qui vont bientôt devenir la majorité de la population dans les pays riches. Plutôt que de les ignorer ou les parquer dans des mouroirs, pourquoi ne pas multiplier les expériences genre la maison des Babayagas ?
C’est compatible avec l’individualisme contemporain tout en tissant des liens de solidarité... Bon, je me sens plus très jeune, alors je suis de plus en plus concerné, et il faudra bien qu’on affronte collectivement cet inéluctable et de plus en plus long vieillissement.
Et puis comme disait Nizan, « J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie ». Mais comme disaient Corneille et Brassens, Marquise...