Illustration de mon propos précédent avec des extraits d’articles publiés sur AVox
« (…) C’est une évidence pour tout le monde désormais que la grande majorité des immigrés arrivés en France il y a trente ans n’ont pas su, et ne sauront jamais éduquer leurs enfants, ces fils d’immigrés qui aujourd’hui, même s’ils ne sont pas responsables de ce qu’ils sont, restent néanmoins massivement à l’origine des troubles dans les banlieues. C’est ainsi. Je le regrette et le déplore comme n’importe lequel d’entre nous, mais c’est un fait, il faut le considérer tel quel et avoir le courage de dire les choses telles qu’elles sont, et d’appréhender le problème bien en face. (…)
(…) Préalablement, il faut déjà pouvoir mettre en place un système de surveillance au coeur des banlieues et des zones urbaines sensibles. Un système qui permettrait d’identifier rapidement les auteurs de troubles ; on permettrait à des citoyens d’indiquer anonymement à la police l’identité d’éléments perturbateurs susceptibles d’appartenir à des bandes ou à des groupes criminels et/ou violents, de sorte que la police puisse cibler ses actions de surveillance, et éventuellement appréhender des auteurs de faits avérés recoupés sur le terrain. (…)
(…) Non, au contraire, il faut une mise à l’écart de la société, il faut aller jusqu’à un internement dans des centres de redressement fermés, surtout pour les jeunes et les très jeunes d’entre eux, ainsi que pour les jeunes adultes.
Ces centres devront être nombreux, déployés dans toutes les régions, organisés et administrés par un service spécialisé de l’institution pénitentiaire ou pourquoi pas avec une participation de l’armée. Les jeunes qui seront internés dans ces centres ne pourront pas en sortir ni le soir ni le week-end, les visites seront au maximum limitées à leurs parents immédiats, dans certains cas, et un traitement très strict leur sera imposé.
Des éducateurs spécialisés nombreux et permanents seront au coeur du dispositif. En priorité des adultes de plus de quarante-cinq ans psychologiquement robustes que des jeunes ne pourront pas impressionner. Ces éducateurs pourraient être recrutés auprès des cadres de l’armée, de la police, de la gendarmerie, de l’éducation nationale, d’intervenants sociaux, de sapeurs-pompiers, toujours sur la base du volontariat. Ils seront chargés d’accompagner les jeunes durant leur séjour dans le centre de redressement et de les évaluer en permanence au fur et à mesure des progrès individuels. Des psychologues seront également indispensables à toutes les étapes de la réhabilitation. (…) »
"(...) Quelque chose de fort doit arriver dans le pays, comme un électrochoc. N’est-ce pas d’ailleurs un tel choc qui ramène à la vie ceux qui s’écroulent après une crise cardiaque ?
Le peuple français, s’il n’est pas déjà définitivement blasé, a bien compris que ce n’est ni en élisant la gauche, ni en élisant la droite qu’il va pouvoir à la fois sanctionner et - surtout - trancher, cette fois de manière irrévocable.
En 2007, il est bien probable qu’un parti nationaliste prendra le contrôle du pays, et que des événements inattendus et brutaux se produiront ensuite, que le juste retour aux choses surviendra subitement. Quelle autre possibilité sérieuse avons-nous réellement s’il s’agit de provoquer un changement net de direction et de stratégie, qui s’assume vraiment et qui pourrait bien donner d’autres perspectives à des dizaines de millions de Français, dans une Europe qui n’attend qu’une seule chose, trouver sa voie ?
Peut-être aussi rien ne va-t-il se produire, et continuerons-nous tous à nous plaindre en bons Français que nous sommes.(..)"
Edifiant…