aucun de ces modèles économiques ne se fonde réellement sur la gratuité. l’utilisateur final paye sous une forme ou sous une autre (attention, consommation de biens et services fournis par des tiers annonceurs...). la loi française permet théoriquement de protéger le consommateur mais la définition des produits et services échappe aux approches classiques.
l’explosion de la chaîne de valeur traditionnelle de valeur permet l’émergence de nouveaux types de partenariats, de nouveaux modes de relation entre les acteurs, a fortiori avec un consommateur devenu lui-même éditeur, media, voire annonceur et vendeur (cf eBay).
la mode du "gratuit" caractérise plutôt la fin des années 90. nous sommes passés à un mode de partage de valeur théoriquement plus favorable à ce nouveau "consommacteur", qui se voit parfois rémunérer. Mais son solde est-il pour autant positif si l’on considère le temps passé et le caractère infinitésimal de sa part perçue sur les revenus générés ?