L’âne Léon qui tient absolument à se ridiculiser jusqu’au bout, nous rappelle certainement très fier de lui : « ben nous aussi on a cotisé ». On entendrait presque le fameux « Mais oui, mais oui, on y a droit, on y a droit ». Incapable de comprendre que ce qui nous intéresse ici est l’avenir de la sécu, et non le passé ; comment la sortir du déficit chronique et comment répartir la charge de son coût sans systématiquement se défausser sur les dos des actifs et des entreprises qui sont déjà bien chargés. Nous savons bien que la gauche ne se serait pas creusée, elle aurait bêtement augmenté la CSG d’un point, puis d’un autre etc. Simpliste et comme nous le voyons depuis des années, cela mène à rien.
Pour les restes, je n’ai pas bien compris ce que viennent faire ces histoires de « dépassements d’honoraires » dans cette histoire. Indépendamment du fait que ce sont encore une fois que des affirmations gratuites (l’âne Léon lit certainement dans le marre de café), les dépassements d’honoraires ne sont pas concernés par la sécu et encore moins par les franchises médicamenteuses. Encore une fois, nos petits « camarades » à bout d’arguments cherchent à noyer le poisson d’un côté pendant que de l’autre ils se livrent à de minables attaques ad hominem. Les lecteurs apprécierons (c’est même déjà fait).
Mon pauvre Léon âne bâté vous êtes, âne bâté vous finirez.