Mesures pour libérer la croissance :
— changer le plus souvent possibles les normes pour obliger à un renouvellement du matériel,
— favoriser le trafic de drogue par une législation qui pénalise l’auto-production pour accélerer la consommation d’articles de luxe,
— décourager l’entraide associative, le travail domestique, le jardinage bio, en bref toutes les activités créatrices de valeurs non monétarisées,
— prévoir par construction une durée de fonctionnement limitée pour les biens de consommation courant,
— revoir régulièrement à la baisse les seuils métaboliques faisant l’objet de thérapeutiques coûteuses, régulières et définitives (anticholestérolémiants, hypotenseurs...), tout en empêchant la recherche publique de travailler sur des traitements naturels, efficaces et non-brevetables
— accepter le stockage de produits hautement polluants venant de l’étranger tout en lançant différents programme de dépollution,
— subventionner encore plus les gros agriculteurs pour qu’ils puissent polluer les sols par l’achat de produits phytosanitaire et vendre à bas prix leurs matières premières à l’industrie agro-alimentaire,
— favoriser le flambage des véhicules et la destruction des infrastructures culturelles publiques par des individus peu qualifiés,
— favoriser les interventions armées destructrices en infrastructure sur des pays tiers pour ensuite leur proposer des fonds à fort taux d’interêt ne pouvant par contrat être dépensés que pour nos industries,
—continuer à laisser croire que l’optimisation de l’indicateur croissance relève de l’intelligence collective.