J’ai entamé la lecture de ce pavé.....
Pour en accepter les conclusions, il faut être d’accord avec les prémisses : la thèse du déclin, la religion de la croissance et la compétition (guerre) économique..
Admettons, dans un premier temps, ces prémisses.
On remarquera que nous sommes en plein dans la figure de l’expertise. Nous n’avons pas accès aux sources, chiffrées ou non, qui nous permettraient de refaire les raisonnements.
L’ensemble se présente comme une totalité qui ferait système, à y retrancher ou à y ajouter on court le risque de l’inefficacité. Sous-jacent, une théorie de l’équilibre haut qui serait à atteindre, et dont les bénéfices sont émergents à cet état d’équilibre. Le socialisme réel a déjà joué cette fable.
Je n’ai rien trouvé au niveau institutionnel, sur la démocratie, sur l’organisation apprenante. Ce rapport ne semble même pas intégrer les réflexions de pointe du capitalisme cognitif.
Passé ces prémisses, on pourra trouver ci et là des éléments qui pourront plaire, et déplaire. Au minimum, un débat démocratique pourrait s’engager, avec, au bout..... un référendum.