Dans la même idée du sacrifice de la jeunesse : Le Monde en ligne "Ce mois-ci, grand carnaval pour la jeunesse, par Sophie Gherardi LE MONDE 04.02.08
Extrait : "Il est un carnaval d’aujourd’hui sans cris, ni rires, ni cotillons. Les masques sont blancs, inexpressifs. La finesse des silhouettes trahit l’âge de ceux qui les portent : ils sont jeunes. Ils ne célèbrent pas le Boeuf gras, et leur carnaval dure toute l’année, parfois des années. Leur bande s’est trouvé un nom : Génération précaire."