Quelques constats :
Le père gendarme a utilisé avec indécence les prérogatives de son uniforme pour faire jeter en prison le vilain professeur qui s’en était pris à son mal élevé de rejeton...
Le ministre de l’éducation nationale, soucieux de ne pas heurter l’opinion, a baffoué les règles élémentaires liées au statut du professeur. Ce n’est que sur le tard que son supérieur, M.Fillon, a rétabli l’ordre et la morale dans toute cette histoire.
Peut être que cette histoire permettra de dépoussiérer les droits et devoirs de chacun dans l’enseignement : nous entendons beaucoup parler des droits de l’enfant, beaucoup moins ceux des enseignants...
A bon entendeur !