@ Bernard,
Je vois avec plaisir que sans nous consulter nous avons réagi de la même manière. Ce "SMS" est vraiment un "SOS" pour le journalisme.
J’apprécie votre comparaison entre la gifle du professeur donné à un élève qui l’avait injurié et la réplique que réserve le Président Sarkozy à qui l’injurie pareillement.
Décidément, après la claque du premier ministre à son ministre de l’Éducation nationale pour sa gestion de l’affaire du professeur injurié poursuivi en justice, les gifles volent en ce moment. Ce n’est peut-être pas plus mal. Paul Villach