pour reprendre, un extrait d’un article de l’A.F.P qui parle de ce journal . . .
"L’équipe de "La Bougie du sapeur" travaille bénévolement. "L’idée est de mettre de côté de quoi sortir le numéro suivant, donc d’assurer la pérennité du titre", a expliqué Jean d’Indy". Cette année, les bénéfices seront reversés à une association qui s’occupe d’adolescents autistes."
le journal peut donc sembler couter cher, mais, il n’enrichit nullement une entreprise privé dans le cas présent