"La réalité est une lutte" dites-vous, avec celui qui a raison et celui qui a tort. Comme le monde est simple, n’est-ce pas ? Savoir pourtant que, selon Platon, un méchant ne fait jamais le mal volontairement. Dans l’article je ne prend parti pour personne, ni pour le fort ni pour le faible, je pose simplement des questions que les médias ne posent pas, comme celle de l’opportunité d’un Etat religieux par exemple, je dis simplement que la compréhension est préférable à l’émotion et sa dangereuse subjectivité. Mais votre commentaire illustre assez bien ce propos je crois.