Quant aux méfaits du capitalisme financier, soi-disant dénoncés, le chef de l’état enjoint de le « moraliser » (sic) : ce qui ne mange pas de pain, et n’oblige pas à prendre les véritables mesures qu’il faudrait pour le REGULER.
Là encore, on est dans l’imprécation à la « morale » ; pour tout dire quasiment au religieux, et à aucun moment, dans la réelle politique : celle qui consiste à prendre des dispositions législatives pour changer les choses..
On n’est pas sortis de la merde, si j’ose dire....