Rappelons que le "Capitalisme" n’existe pas. Ce mot est une invention des "Socialistes" qui avaient besoin d’un adversaire en face, pour remporter une victoire.
Et ils ont perdu !
Il n’y a qu’une seule notion en réalité, autour de laquelle tout se joue : la liberté.
La liberté ne se divise pas, on est libre ou on ne l’est pas : libre de penser, de parler, d’avoir une opinion, de se déplacer, d’entreprendre, etc.
Les hommes ont inventé par la suite une entité juridique de pure convenance, qu’ils ont appelé l’Etat, afin de régler certains rapports qu’ils entretiennent entre eux puisqu’ils sont (presque) des animaux sociaux. A cette entité de convention pure ils ont conféré librement des pouvoirs et des droits, par exemple le pouvoir de faire la police et de faire appliquer la loi commune, et puis le droit de lever des impôts pour financer l’execution de tous ces autres pouvoirs.
Le droit de lever l’impôt n’est pas un droit divin, mais un droit consenti en échange de ces services.
Aujourd’hui, en vertu du droit de lever l’impôt, une caste, qui s’est constituée spontanément mais qui n’a aucune légitimité particulière et qui n’est composée que de gens comme vous et moi, outrepasse ses droits et ses pouvoirs pour prélever plus de la moitié de la richesse produite au nom de l’Etat.
Les revenus que tire l’Etat des impôts qu’ils prélèvent ne pouvait pas rester sans être accaparé et détourné de leurs buts. Le miel attire les mouches.
Pour établir ces prélèvements confiscatoires, cette caste mandarinale, qui s’est emparée de l’Etat à son seul profit, s’invente sans cesse de nouveaux devoirs : "Réguler le "Capitalisme" en est un exemple, ou bien : "Gérer" des "entreprises de transport".
Mais il n’y a rien à réguler, puisque le "Capitalisme" n’existe pas plus que le "Socialisme". Il n’existe que la liberté d’entreprendre et l’absence de cette liberté.
De plus l’Etat n’a pas à s’occuper de transport, il n’ a jamais été créé pour ça et il devrait s’occuper tout d’aébord de rendre correctement les services que les citoyens lui ont confié la tache de leur rendre : Assurer la sécurité publique, dire le droit, garder les frontières.
S’il voulait nous rendre d’autres services et gérer des entreprise, on pourrait éventuellement le charger d’envoyer des hommes dans la lune, des trucs qui sortiraient vraiment de l’ordinaire, mais pas de transporter des hommes de Rambouillet à Romorantin.
Il y a belle lurette que l’Etat ne peut donc plus justifer l’énormité prélèvements qu’il opère, par les services réels qu’il nous rend.
Il faut donc envisager une grêve de l’impôt. C’est la prochaine étape du rétablissement de la liberté dans notre société.