S’il fallait abonder dans le sens des intégristes religieux de tous poils, ce jugement pourrait très bien faire jurisprudence et ce retourner contre eux à leur dépens.
En effet, combien de jeune femme naïves se font abuser tous les ans par les discours sirupeux de certains beaux-parleurs se faisant passer pour des individus ouverts et modernistes, et qui, sitôt mariés laissent tomber le masque du fanatisme religieux parfois le plus abjecte. Leur imposants à leurs familles leurs préceptes (culinaires, vestimentaires, etc...), obligeant les enfants nées de cette union à suivre la religion du père, exigeant même parfois que l’épouse rompte avec son environnement familiale (surtout si celui-ci a dévoué le mariage), et j’en passe...
La aussi, on pourrait donc aisement penser que l’épouse qui a été tromper par son conjoint sur une "qualité essentielle" de celui-ci (ici l’absence d’ouverture d’esprit) obtiendrait facilement l’annulation de son mariage.
Je sais que ceci est une petite provocation de ma part, mais elle permet à ceux qui mettent la religion au dessus de tout, de réflechir sur ce point, en faisant preuve de la plus grande franchise en la matière avant de convoler en juste noces.