Sans oublier le "choix’" de l’anglais de plus en plus souvent imposé comme langue de l’aviation, alors que sa phonétique confuse se prête à beaucoup de malentendus, et que lles difficultés linguistiques ont été un cofacteur d’écrasements aériens confirmé dans plusieurs rapports et enregistrements. Il me semble que c’est après l’un d’eux que la procédure de répétition systématique des messages échangés entre le sol et la cabine a été ajoutée.