Faut pas trop se gratter les neuronnes à propos de ces histoires de langues, car l’avenir n’appartient ni à l’espéranto ni à l’anglais, mais au chinois. Les prédictions du mage de Meudon vont se réaliser... Si trois cent millions de ricains ont pu, au cours du vingtiéme siècle, imposer leur sabir barbare, que dire d’un milliard trois cent millions de chinois au vingt et unième ? Ça ne va pas faire un pli : on sera tous obligé de chinoiser dans vingt ou trente piges... Déja les types de la Haute s’y mettent, ils inscrivent leur momes à des cours de mandarin et autres chinoiseries de haut rang... Comme quoi il avait pas tord, Louis Ferdinand ! Cette prophétie réalisée, c’est sa vengeance posthume à toutes les avanies que lui ont fait subir les triomphants d’aprés guerre... Aprés lui, on causera plus le vrai français. Il était le dernier des grands franchouillards, le dernier des fils de Rabelais. Il a vu les débuts du règne sans partage de cet anglais affadi et "ricanisé", dont le shouingum et le coca-cola sont le symbole. Maintenant que c’est fini aussi pour l’angliche made in US - et par la même occasion pour le "frangliche"- il doit bien se marrer dans sa tombe, Ferdine ! Car l’oncle Ho et les fils du Ciel vont prendre le relai. Certes, c’est pas encore la France aux yeux bridés - Sarkho veille - mais c’est déja la France au verbe bridé...