D’accord avec votre analyse générale et le fait que le pire est à venir, mais je ne comprends pas votre allusion de la fin...
L’euphorie d’hier est trompeuse
"Ces mesures réclament que nous engagions un montant considérable sur les dollars du contribuable...cela comporte des risques." (Bush)
Après avoir présenté l’Etat comme le mal absolu("L’Etat, c’est le problème"...), nos "experts" libéraux et le monde de la haute finance l’appellent au secours comme le pompier salvateur.
L’Etat serait-il donc( provisoirement) la solution pour socialiser les pertes ?...
Mais est-ce vraiment un retour de l’Etat ?
Mille milliards de dollars pour des fonds pourris :