Notre économie repose exclusivement sur la consommation des individus.
Le capitalisme s’est développer sur cette économie.
Sous la poussée d’appétits divers, s’est mis en place, un libéralisme financier, copie conforme de la cavalerie.
La première conséquence en est, que le capitalisme a, pour perdurer, besoin d’un développement exponentiel en aval, pour couvrir ses pertes en amont.
La seconde conséquence est que la limite d’un développement exponentiel ne peut être que l’implosion.
L’impossibilité de se développer au delà d’une limite est une réalité, sur laquelle, il ne sera pas possible de tricher, et à mille lieues de la crise de confiance nécessaire à l’effondrement du système financier, qui semble se dessiner.
Le hic, si l’on peut dire, c’est que le point de rupture du capitalisme, pourtant bien réel à l’horizon, est encore loin devant nous, et le décompte pourrait se faire en siècle, si le "réchauffement" nous prête vie.
Le développement nécessaire au capitalisme,exige de passer à un stade différent de notre propre développement, et une catastrophe financière pourrait bien être le "pearl harbor" ou le "11 septembre" qui nous y entraîne de force, et mal gré.
Que le problême soit d’argent, importe peu, puisque la solution, s’imposera avec les "couilles", du camps qui en aura le plus.