En lisant l’article, j’ai tiqué sur deux détails :
L’indispensabilité des profits.
Si les prix de vente, réflètent éxactement les prix de revient réels, toutes charges comprises, d’un produit fini, l’entreprise peut fonctionner et prospérer sans faire un centîme de bénéfice. Je crois que le plus simple, serait quelque soit la forme juridique de l’entreprise, de considérer le "capital" comme prêt remboursable, avec ou sans rémunération, cela permettrait de voir le monde de l’entreprise plus sainement.
L’objectif de l’entrepreneur privé.
Il est éxactement le même, que pour le citoyen normal, seul l’appêtit diffère. On pourra objecter, telles exceptions d’entrepreneurs se battant pour sauver leur création, mais globalement, il n’y a aucune notion chevaleresque dans les buts de l’entreprise, au dela du partage du butin.
Pour un sommet,
le problême N° 1 qu’il faudrait résoudre, c’est celui qui concerne la circulation de la monnaie. Il faut faire sauter les barrages qui empêche la monnaie d’irriguer des pans entiers de notre société, menacés d’asphixie. La spéculation qui draine la monnaie vers l’entreprise et non vers l’homme, sans en sauver aucun, en est un des principaux.
Pour parler vrai, le capitalisme à muté, il est mort. Les capitalistes aujourd’hui, sont des entreprises qui prospèrent sur les avoirs de leurs clients.
Sans m’appesantir sur la perversité du système, le mieux serait d’officialiser cette mort, et de supprimer les éléments inutiles.
Il ne faut, ni sauver, ni nationaliser, mais plutôt mutualiser en structures à taille humaine, solidaires et indépendantes.
Pour reprendre un commentaire, j’ajouterai que l’homme n’apprends ni à soumettre, ni à se soumettre. L’apprentissage se fait par transmission d’ expérience, qui n’existe plus coté pouvoir, avec l’avènement des républiques , et côté soumis, toute la somme des expérience conduit à s’affranchir des tutelles, et dans chaque soumis contraint, sommeille un " Brutus"
Nos élus apprennent à se maintenir envers et contre tout, ils ne savent pas gouverner.
C’est aussi simple que cela.