@Olivier cabanel ; Votre titre résume très bien ma "philosophie". Les sociétés dites développées fonctionnent sur un phantasme : toujours plus grand toujours plus gros. Les bagnoles ont doublé de taille en 25 ans, les montres ont doublé, les pompes qui taillent 42 semblent faire du 47 de pointure, avec l’obésité de règle dans les pays riches s’affiche l’obscénité du trop bouffer etc...Le culte de la consommation (sur-consommation) fait des hommes des abrutis éternellement frustrés, sans culture, sans autre projet que de consommer plus. Une humanité qui n’a plus comme fondement que cette sur-consommation est condamnée. La planète est malade de la ’croissance’ des pays dits développés, les autres n’ont qu’un rêve, qu’un but : accéder au niveau de vie de l’Occident. Le problème c’est que ce niveau de vie, s’il était atteint par les sept milliards d’humains que compte la terre, ce serait l’effondrement de tout l’éco-système. Alors continuer à parler de croissance c’est comme prescrire un suicide collectif. Si l’on veut préserver la vie crions "mort à la croissance"
bien à vous.