Bonjour.
J’ai bien aimé l’article et les réactions : c’est intéressant de voir que le "syndrome de Stockholm" existe aussi en politique.
Le "Oui not’ bon maître" n’est pas mort, défendu bec et ongles par des gens qui semblent intelligents.
Si j’ai bien compris,- pardon pour la trivialité mais je crois l’image juste- on se fait baiser de toutes façons. La seule alternative qu’il nous reste c’est de décider par qui. En tant que femme, la question n’est pas négligeable.
En gros, on a le choix entre le voyou amoral représentatif des puissances de l’argent, ouh la la, que c’est viril !, et le haut fonctionnaire intriguant virtuose de la "combinazione"-ciel, comme c’est excitant !-
Si une femme de votre connaissance vous exposait ce dilemne, vous la traiteriez de conne, voire de pute, et vous auriez raison.
Entre Al Capone et Machiavel, il y a quand même un large éventail de possibilités. On a le choix.
Y compris celui de NE PAS se faire baiser.
Mais ça suppose d’être conscient de son pouvoir en nombre, ça suppose d’être solidaire, ça supose de ne pas se précipiter sur les miettes qui tombent d’en haut...
Bon courage et bonne fin de journée à tous.