quelques lignes avant d’aller bosser.
Une société est créée dont les actionnaires sont l’ensemble des francais (1 voix=1action)
L’etat emprunte 50 milliards sur le marché et les apporte en fonds propres à la société contre 1 action.
La banque de France accord le statut bancaire à cette société.
Cette société emprunte 1000 milliards à la BCE et prete 750 milliards à l’etat au taux de la BCE.
Cette societe achete les banques pour 200 milliards.
L’etat rembourse sa dette aupres des investisseurs francais, disons 700 milliards
et rembourse les 50 milliards qu’il a emprunté aux banques.
ces investisseurs sont les banques, les compagnies d’assurance, en fait des acteurs qui investissent
l’argent des francais. on retrouve dans les banques Les 700 milliards + 50 + les 200 d’acquisition + 50
en fonds propre. les fonds sont re-employes pour rembourser la dette à la BCE.
la societe doit 1000 milliards aux francais pour l’essentiel, et l’etat , donc les francais lui doit mille
milliards. la dette est annulée.
le systeme financier represente 40% des benefices des entreprises, le signe de la perversion, le
deuxieme coupable est l’etat francais, mauvais gestionnaire, des finances des francais.
la societe a maintenant dans ses actifs, l’ensemble de ceux des banques francaises.
les benefices du systeme financier sont redistribues aux francais en tenant compte du montant des
creances qu’ils detennaient aupres de l’etat pour creer 4 tranches par exemple afin de rembourser les
francais sur 5, 10 ,25 ou 50 ans en fonction diu montant de leurs creances (en prenant en compte
l’inflation) uniquement).
Quand les dividendes sont verses aux enfants de ces creanciers, ils sont exemptés de taxation.
Resultat, les francais remboursent leur dette car au final, c’est de fait la leur.
Ils sont remboursés sur le futur qu’ils doivent rendre le meilleur possible..
les revenus vont à leurs enfants
les banques restent des entreprises mais leurs benefices sont employes pour financer les francais
qui eux meme les creent en fonction des risques qu’ils partagent avec leurs banques.
reste l’etat mauvais gestionnaire, mais comme le cordon de la bourse conditionne la politique
et la faut pas rever...
bon, allez c’est l"heure de partir bosser