Faut dire que le monsieur est prof dans un master qui forme de futurs étatistes et donc de futurs générateurs de dette. Forcément qu’il défend la dette. Parce que lorsque la France ne pourra plus s’endetter (bientot), on aura une liquidation forcée d’une bonne partie de l’administration et dans la fonction publique dite "territoriale" cela va être une sacrée saignée.
Parce que la je vous garantit que les communes proches vont fusionner enfin, que les administrations inutiles type DRIRE, Agence Française de Développement et autres cabinets à la con vont finir dans les cabinets avec chasse tirée ! Et que ca ne manquera à personne à part aux fonctionnaires concernés.
Alors oui ce monsieur défend la dette quoi de plus normale.
Mais à tous ceux qui lisent ces lignes je rappellerai un élément important : Quand vous payez votre impôt sur le revenu, vous ne payez pas des écoles, des services publics ou des hopitaux. Non vous payez LES INTERETS de la dette. Pas la dette hein ! Juste ses intérêts.
Si vous prenez le remboursement de la dette compléte (capital + intérêts) ce sont tous les impots directs qui y passent. Alors la seule solution on la connait, on liquide les administrations inutiles, on réforme le statut de fonctionnaire pour permettre une restructuration en profondeur de la fonction publique puis on diminue les coûts (sans toucher aux prestations ce n’est pas aux français de payer pour une administration inefficace, l’administration et tous ceux qui la composent doivent supporter l’intégralité du coût de la restructuration).
Et si il y a des grêves, et bien on les laisses crever ! Au bout de 6 mois sans salaires, ils iront pointer aux assedics pour retrouver un boulot. (La grêve aura l’avantage de fournir les noms de mecs à virer). Et si certains bloquent ou sabottent, on leur envoie les CRS. Pendant les grêves de Novembre, beaucoup de parisien n’attendaient que ca de voir un fumier de gréviste. Au lieu de ca, Sarkozy a cédé, reprenant la tradition de Chirac et Juppé. Il a eu tort, si il avait tenu bon, beaucoup de français lui auraient été très reconaissants (ceux qui ont votés pour lui et bien d’autres) et cela aurait posé les bases pour les réformes à venir qui auraient alors été acceptées.
Il est juste pitoyable de voir qu’il faut attendre que la france soit en cessation de paiements pour que les réformes soient faites. Monsieur les politiques, ayez donc un peu de courage. Si vous n’osez même plus affronter une grêve de fonctionnaire c’est peut être que vous n’êtes pas digne d’être dirigeants de la France.
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