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Thierry JACOB 4 décembre 2008 12:49

Ce que nous dit pas notre ami Lloyds...c’est que certains murmurent un deal USA-mollahs... Iran-USA : inquiétudes israéliennes sur un rapprochement La chef du parti Kadima (centre) et ministre israélienne des Affaires étrangères Tzipi Livni a laissé entrevoir la possibilité de divergences avec le président américain élu Barack Obama sur la question du programme nucléaire iranien. Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a félicité aujourd’hui Barack Obama pour son élection à la présidence des Etats-Unis, a rapporté l’agence de presse officielle Irna. Les Etats-Unis ont rompu leurs relations diplomatiques avec l’Iran après la Révolution islamique de 1979 et sont à la pointe des efforts pour isoler le pays du fait de la poursuite de ses activités nucléaires. Washington pense que l’Iran mène en secret un programme nucléaire militaire, ce que Téhéran dément. Les autorités iraniennes ont rejeté les demandes internationales de suspendre leurs activités d’enrichissement d’uranium, ce qui a valu plusieurs trains de sanctions internationales à l’Iran. Contrairement à George W. Bush, Barack Obama a évoqué la possibilité d’un dialogue sans condition préalable avec l’Iran, sous le coup de sanctions de l’ONU pour le forcer à mettre un terme à son programme nucléaire controversé. La république islamique, a-t-il dit, ne doit pas être autorisée à se doter de l’arme atomique. Il prône des sanctions accrues contre l’Iran. Expliquant qu’"aucun instrument diplomatique ne doit être exclu", il s’est dit prêt à engager une discussion sans conditions préalables avec les dirigeants iraniens. La ministre israélienne des Affaires étrangères Tzipi Livni a déclaré que Barack Obama ne devrait pas ouvrir des négociations avec l’Iran dans l’immédiat, estimant que cette volonté de dialogue pourrait être interprétée par le régime de Mahmoud Ahmadinejad comme un signe de "faiblesse". C’est le premier signe de divergence entre l’Etat hébreu et la future administration démocrate. "En ce moment, le dialogue risque d’être interprété comme une faiblesse", a averti Tzipi Livni, qui dirige le parti Kadima au pouvoir en Israël et qui briguera le poste de Premier ministre lors des législatives de février prochain. "Je crois qu’un dialogue prématuré, à un moment où l’Iran a l’impression que la communauté internationale a abandonné l’idée de sanctions, pourrait s’avérer problématique". Caroline Caldier


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