Le président devrait être celui qui dirige le combat contre la déliquescence de la République. Celui-ci au contraire, surfe, sur la déliquescence de nos institutions quand il ne l’organise pas lui-même, pour se faire élire et reélire.
La récente décision d’introduire une nouvele niche fiscale basée sur les pertes à la Bourse va dans ce sens : enrichir les riches parce que ce sont eux qui font l’opinion et le bonheur de notre industrie de luxe, et appauvrir les pauvres parce que ce sont eux qui achètent made in ailleurs, et ça c’est pas bien du tout dans ce contexte de globalisation.