Encore et toujours des pauvres malheureux à exposer pour faire pleurer et usurper l’usage des taxes indignes.
A quoi servent les droits d’auteurs récoltés après la mort de leur bénéficiaires. S’ils ne servent pas au créateur, au moins pourraient-ils servir aux artistes vivants et éviter de taxer ceux qui déjà paient les originaux, paient la pub qui finance la diffusion de daubes promotionnées artificiellement par réservation des créneaux radios (dites libres en plus)...
Et j’en passe.
Si je ne livre pas la totalité du fond de ma pensée, c’est parce que ce n’est pas à la gloire de ceux qui acceptent de prendre cet argent, comme à celle de ceux qui veulent faire croire au génie des artistes.