S’apitoyer sur l’état du marché de l’automobile équivaut à perdurer dans l’erreur. Depuis de déjà longues années tant les pouvoirs publics que des groupes de pression de plus en plus entendus ne cessent de dénoncer la gabegie écologique du tout à l’automobile. Ensuite, l’on feint de s’étonner des petits pas gagnants des transports en commun justement promus. La cohérence voudrait que l’on se réjouisse de voire la voiture remise à une plus place qu’elle n’aurait jamais dû quitter.
A quoi bon tenter de relancer un mode de déplacement que par ailleurs on ne cesse de justement condamner ?