Et encore, l’auteur ne soupçonne pas à quel point les erasmus restent entre eux. En effet, ils ne se contentent pas de ne pas être en contact avec les étudiants locaux, ils vont également jusqu’à avoir leur résidence étudiante séparée (financés par des banques de la City), leur propre magasins d’alimentations (tenus par la mafia londonnienne), leur prores pub, ainsi qu’une institution judiciaire ayant pour fonction de statuer sur les cas des traitres qui auraient appris trois mots en solvaque ou en letton.
La semaine prochaine nous parlera du taux de suicides chez les teenagers anglo saxons du à la difficulté de l’anglais, et la semaine d’après, de l’étonnante expérience menée sur des bambins : élevé par des nourrices ayant interdiction de leur parler, ceux ci ont commencé naturellement à s’exprimer en esperanto.