Danielle Thompson est la digne fille de son père : elle filme des comédies populaires qui répondent à deux finalités : d’une part, distraire un large public en privilégiant la forme au fond ; d’autre part, faire un maximum d’entrées et par conséquent de fric.
En résumé, Danielle Thompson n’est pas une créatrice de cinéma, mais une industrielle du genre. Elle le sait et ne vise absolument pas le Prix Louis Delluc.
Tout cela pour dire qu’il vaut mieux aller voir Séraphine tant que ce film est à l’affiche.