Merci à l’auteur pour cet article
Une fois encore les mots de Charles Maurras résonnent d’un glas funeste en echo de ce procès Colonna devenu une caricature de justice :
« Qu’importe qu’il (Dreyfus) soit coupable ou innocent. L’intérêt de la Nation commande qu’il soit condamné. »
Si vous vous interrogez sur la signification de cette "justice représentée les yeux bandés", relisez la déclaration de José Saramago, Prix Nobel de littérature, lorsqu’il prit la défense de José Rainha, porte parole du "Mouvement des Sans terre" au Brésil : « … () on suppose que si la malheureuse est ainsi, c’est pour que nous ne puissions nous apercevoir qu’on lui a arraché les yeux… »
http://lestribunationsdefrankie.20minutes-blogs.fr/archive/2008/06/15/quand-sonne-le-glas-d-une-justice-privee-de-sens.html