N’oublions jamais que les « miséreux » qui arrivent ici sont, en réalité les privilégiés qui ont pu réunir l’argent du voyage et les primes des passeurs - qui ne sont pas des philanthropes.
Ces privilégiés consacrent souvent au voyage l’équivalent de quelques à plusieurs années de pouvoir d’achat dans leurs foireux pays d’origine.
On devrait peut-être essayé de faire de la prévention dans les foireux pays d’origine en montrant aux indigènes dans quelles lamentables conditions vivent leurs congénères une fois parvenus à destination.
C’est ce qu’a fait la Confédération helvétique avec la diffusion de films montrant des Subsahariens arrivés en Suisse et réduits à l’état de clodos, dans les pays d’origine des migrants, mais je ne sais pas quel impact ont eu ses images...