« Pourtant, il n’est pas inutile de rappeler que le revenu moyen des
chefs d’entreprises français est de l’ordre de 4.400€ par mois, loin
des stock options, golden bonus et retraites chapeaux des dirigeants
des entreprises susvisées et autres du CAC 40. »
Vous vous y prenez bien mal pour défendre votre cause car on ne peut pas baser un débat sur des comparaisons de choses incomparables. Dans ce cas, on quitte la logique pour rentrer dans la religion. Pour remettre les choses en perspective, je reprends votre comparaison :
« Pourtant, il n’est pas inutile de rappeler que le nombre moyen d’employés des entreprises françaises est de l’ordre de 5, loin
des 100.000 qu’on trouve dans les filiales, divisions et départements que dirigent les patrons
des entreprises susvisées et autres du CAC 40. »
Le plus gênant est qu’on si l’on compte 4 millions d’euros par patron du Cac40 (tous ne touchent pas autant loin de là) on arrive à un total de 160 millions d’euros, somme totalement dérisoire face au centaines de millions pris au contribuable pour financer les causes les plus inavouables comme l’immigration à Mayotte, sans parler des milliards donnés aux petits copains victimes de leurs propres erreurs de gestion.
Le véritable scandale n’est pas le salaire des patrons du Cac40 mais le fait que l’Etat prenne une participation majoritaire de 17% dans la BNP sans avoir le moindre droit de vote, en se privant volontairement de la possibilité d’aller voter contre le paquet de stock option que le conseil d’administration donnera au patron de la banque. On nous prend pour des esclaves, pour des imbéciles, pour des moins que rien juste bons à payer. Le « On », ce sont vos députés qui se sont votés une double retraite, qui touchent un salaire ridiculement élevé d’environ 20.000 euros par mois et qui se sont votés un parachute doré au cas où ils ne soient pas réélus. Ceux-là ne dirigent qu’eux-même et leur secrétaire mais curieusement, personne n’en parle. Ce sont pourtant eux les uniques responsabes de la crise. Les ouvriers licenciés continuent bêtement à séquestrer le cadre de l’usine alors que c’est à leur député qu’ils devraient demander des comtpes, par exemple pourquoi il les a mis en concurrence libre et faussée avec les esclaves du tiers-monde, provoquant ainsi la fermeture de l’usine.