La « femme normale », les « pétasses flippées ». Ces simples expressions en disent long sur le niveau de réflexion de Soral, dont il est évident qu’il est l’auteur de ce texte étant donné, Ramila, que vous vous ralliez à sa vision des femmes et du féminisme sans dévier de la trajectoire de ce qui lui tient lieu de pensée et qu’il a développé dans plusieurs commissures de bas étage.
Hélas, si Zemmour fut drôle et agaçant dans son Premier Sexe, Soral, s’en inspirant ainsi que de Néofascisme et idéologie du désir de Clouscard - lequel, d’ailleurs, s’est un jour manifesté pour dire à quel point il se serait bien passé du fait que ledit Alain se réfère à ses théories -, comble ses « essais », mal taillés mais habiles, de sa détestation des femmes, des homosexuels et des Juifs (ou des sionistes, hein).
On a les haines qu’on peut.